Pire : surnommée l’«uranium des pesticides», l'atrazine continue de contaminer les nappes phréatiques pendant des années après son interdiction.
Autoriser l'exportation d'un tel poison est donc insupportable. C'est même une «violation des droits de l’homme» selon la Rapporteuse spéciale sur le droit à l’alimentation à l'ONU.
Demandez à Nicolas Hulot, le tout nouveau ministre de la Transition écologique et solidaire, de respecter la convention de Bâle et de cesser d’exporter de l’atrazine dans les pays en développement!
Dites à M. Hulot de tenir tête à Syngenta et de mettre fin aux exportations toxiques!
Plus d’informations
Organisation des Nations unies. 24 janvier 2017.
Cash investigation. 3 février 2016.
Le Temps. 3 février 2016.
L'Obs. 29 mai 2017.
Le Monde. 28 mai 2017.