L'armée d'occupation israélienne vient de bombarder Gaza, tuant plus d'une centaine de personnes dont 61 enfants.
Tous les regards sont maintenant tournés vers le plus proche allié d'Israël : les États-Unis. C'est le premier test du président Biden sur les violations du droit international commises par Israël, et jusqu'à présent, c’est un échec.
Mais la pression monte contre Biden, et même les membres du Congrès demandent à l'administration de ne plus se contenter de déclarations vides.
De la suspension de l'aide financière à l'étiquetage des produits issus des colonies, l'administration Biden doit utiliser toutes les options disponibles pour faire pression sur l'occupant israélien. Ralliez-vous à l’appel mondial demandant à Biden de mettre fin au massacre des Palestiniens.
Oui, je demande à Biden de faire pression sur le régime d'apartheid israélien pour que cesse la répression coloniale subie par les Palestiniens.
Depuis plusieurs semaines, les forces de sécurité israéliennes attaquent des manifestants palestiniens qui demandent la fin des expulsions forcées de familles de Jérusalem-Est occupée. Ces expulsions illégales ont pour but de permettre à Israël de construire davantage de colonies.
Ce régime oppressif exerce un contrôle total sur les Palestiniens, qu'il s'agisse de l'accès à la terre, à l'eau, aux aides financières et même des déplacements. Ne vous y trompez pas, c'est l'occupation et les politiques oppressives du gouvernement israélien qui sont à l'origine de cette crise permanente.
Le président Biden peut soit continuer à se rendre honteusement complice des incessantes violations des droits humains commises par le gouvernement israélien, soit prendre enfin des mesures fortes pour montrer que cette répression sanglante a des conséquences.
Dites à Biden de faire pression sur le régime d'apartheid israélien.
La communauté SumOfUs continuera à se battre pour la justice, l'égalité et la liberté partout dans le monde. Agissons maintenant pour ceux qui, en Palestine, sont brutalisés chaque jour par une armée d’occupation.
Plus d’informations
Human Rights Watch. 27 avril 2021.